Le premier chapitre de notre histoire débute le 9 février 2014, lorsque le peuple et les cantons suisses ont accepté l’initiative populaire « contre une immigration de masse » qui exigeait le retour à une immigration contingentée et donc – par opposition – à la renégociation de l’accord de libre circulation des personnes entre la Suisse et l’Union européenne. Mauvais perdants, les parlementaires (qui, à l’exception de l’UDC, étaient tous opposés à l’initiative) ont rompu leur serment et ont violé la Constitution en votant sciemment et volontairement une loi anticonstitutionnelle le 16 décembre 2016. Pour rappeler les faits, l’ASIN publie aujourd’hui une vidéo de 2.5 minutes intitulée « C’est l’histoire vraie d’un viol… »
« C’est l’histoire vraie d’un viol… » rappelle les faits grâce à des images d’archives issus de la RTS et du Service du Parlement. Il met en scène les principaux acteurs du viol de la Constitution et reprend les commentaires choqués de journalistes témoins de ce jour surréaliste où le Parlement s’est défié du peuple dans un véritable coup d’Etat silencieux. L’ASIN confond les violeurs de la Constitution et appelle à leur non-réélection le 20 octobre prochain.
Plusieurs coupables du viol de la Constitution se présentent à leur propre succession en Suisse romande. Nous leur dédions notre clip. En voici la liste canton par canton :
Fribourg Jacques Bourgesois Valérie Piller Carrard | Genève Laurence Rielle Christian Lüscher Lisa Mazzone |
Jura Pierre-Alain Fridez | Neuchâtel Philippe Bauer Denis de la Reusille |
Valais Philippe Nantermod Mathias Reynard | Vaud Frédéric Borloz Daniel Brélaz Isabelle Chevalley Olivier Feller Ada Marra Isabelle Moret Roger Nordmann Adèle Thorens Laurent Wehrli |
Le premier chapitre de notre histoire a été écrit par le peuple le 9 février 2014. Il lui appartiendra d’écrire également le dernier chapitre de cette histoire le 20 octobre prochain en envoyant à la retraite politique celles et ceux qui ont cru qu’il était possible de violer la Constitution et d’être acquitté pour non-lieu.